Atelier de Gilbert Quélennec = ISSN 2556-5362


" En tous cas, je ne peux pas m'imaginer que les grandes formes anciennes (quatuor à cordes, symphonie, oratorio, etc.) pourront jouer un rôle quelconque. Si quelque chose advient, cela devra - je crois - être simple, transparent. "
Wittgenstein







dimanche 12 août 2012

La vertu du "brouillon" (Esquisse)



Le musicien académique et le prof veulent faire disparaître les bruits du travail.  La vertu du "brouillon", c'est d'éviter l'effet "embourgeoisé" que peuvent produire les sons trop travaillés.

Gilbert Quélennec


ci-dessous, le commentaire d'une auditrice de mes impros:

"Ne vouloir transmettre une œuvre que lorsqu'elle est totalement aboutie, c'est occulter tous les balbutiements, les cheminements, la genèse. L’œuvre achevée, c'est parfois une version académique, empesée. Le brouillon a la vertu de livrer une étape, avant l'étape suivante plus complète. Il permet de diffuser son œuvre dans l'urgence, en révélant son état d'avancement."

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